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Journal d’un vieux dégueulasse... Charles Bukowski - Livres / Foxoo
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Source : #4900 Publié le 22/10/10 | Vues : 62

Journal d’un vieux dégueulasse... Charles Bukowski / Livres


Journal d'un vieux dégueulasse est un ouvrage écrit par Charles Bukowski, édité en septembre 2010 aux éditions Grasset.

Charles Bukowski, « Hank » pour les amis, est né en 1920. Il est mort à San Diego le 9 mars 1994. Tour à tour postier, magasinier, employé de bureau, Bukowski, venu tard à la littérature, est aujourd'hui un écrivain référence dans son pays. Il a publié notamment : Contes de la folie ordinaire, Women, Factotum, Hollywood, Je t'aime Albert, Souvenirs d'un pas grand-chose, Au sud de nulle part, Pulp, sans oublier ses poèmes, L'Amour est un chien de l'enfer.



Livre-culte, qui annonce aussi bien Contes de la folie ordinaire que l'ultime Pulp. En vérité, tout Bukowski est déjà dans ce Journal d'un vieux dégueulasse. Gérard Guegan, qui contribua en France à sa découverte, s'est chargé d'en assurer une nouvelle traduction et d'en donner la version intégrale.

De quoi s'agit-il ? Du bloc-notes que tint, dès 1967 dans un magazine underground, un esprit libre, sceptique, mais furieux. Jusqu'alors poète confiné dans des tirages confidentiels, Charles Bukowski, l'écorché vif, mit à profit cette audience soudaine et régla ses comptes avec l'univers tout entier.

Avec son père, sa mère, ses copains d'école, comme avec les puissants, qu'ils siègent à la Maison Blanche ou à Wall Street. Avec les paris truqués comme avec les truqueurs de la révolution. Sans oublier ces arbitres du bon goût littéraire qui l'avaient si souvent méprisé.

Ainsi, au rebours des habituels cireurs de pompes, Bukowski n'hésite pas à faire les poches à Henry Miller, même s'il en camoufle, par un reste de sympathie, l'identité. En revanche, quand il s'en prend à Genet, Ginsberg, Burroughs, alors porte-drapeaux du mouvement étudiant, il frappe fort et sans pitié.

Un seul trouve grâce à ses yeux : Neal Cassady, l'ami et le modèle de Kerouac. Sans doute parce que Neal était un prolétaire et un déchireur de fausses certitudes. Tout comme lui, qui interpelle l'éternité avec les mots de tous les jours.


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